Apercu Economique - le Japon Imperial

COUT DE LA VIE


Les produits indiqués en blanc sont légaux et peuvent toujours être obtenus sans formalité particulière bien que leur usage puisse être réglementé (il faut un permis de conduire pour avoir le droit d'être au volant...).

Les produits en vert sont normalement accessibles sans aucune restriction mais certains dans ces catégories peuvent être soumis à des restrictions particulières (par exemple, les programmes de Furtivité ou d'Evasion, les implants offensifs, les drogues de combat...) s'ils sont potentiellement nuisibles à autrui ou que leur usage ne peut se faire que dans des conditions illégales (c'est le cas de certains utilitaires pour cyberdecks par exemple...). En ce cas, le produit spécifique est considéré comme illégal (code rouge).

Les produits indiqués en jaune ne sont pas accessibles aux particuliers sans permis appropriés mais peuvent être obtenus légalement si on est en règle sur ce plan (les taxes correspondant au permis étant généralement incluses dans le prix, les vendeurs au marché noir pratiquant les mèmes tarifs pour se conserver une bonne marge...).

Les produits indiqués en rouge ne sont pas accessibles aux particuliers et d'accès restreint aux corporations. Dans le doute, un produit indéterminé potentiellement dangereux ou a usage illégal implicite sera classé rouge...

Généralités sur l'économie japonaise
Au siècle précédent, le problème majeur du japon était son approvisionnement en énergie, ce qui n'est plus le cas depuis 2006 puisque les stations solaires permettent au trône impérial qui en a la propriété de dégager de considérables bénéfices en exportant cette technologie tout en l'amenant ainsi à réduire la pression fiscale sur les entreprises japonaises. Les réacteurs nucléaires Shiawase assurent le reste de l'approvisionnement intérieur comme dans pratiquement tout le pacifique.

La production alimentaire locale tourne bien évidemment autour du soja mais bien davantage autour de l'aquaculture et ses produits de base (krill, surimi…) sont aromatisés et vendus sous pratiquement toutes les formes concevables. L'industrie alimentaire de luxe est volontairement cantonnée à certaines spécialités bien précises et aux produits naturels d'importation. Les importations d'alcool, de tabac et de produits gastronomiques sont rigoureusement surveillées et une spécialité étrangère (marque de bière, bouteille d'alcool, viande importée) peut coùter de 1.5 à 6 fois le prix normal si on essaye d'en obtenir au Japon Impérial. La plupart des produits fabriqués dans le reste de l'asie coutent 1.2 à 2 fois leur prix normal. A l'opposé, tous les produits locaux sont très bon marché… 

En copiant en beaucoup plus strict le protectionnisme américain du siècle précédent, le Japon est parvenu a faire en sorte que les logiciels et cyberdecks de fabrication étrangère soient quasiment inconnus sur le marché intérieur japonais monopolisé par les grands concepteurs nippons (Fuchi, Renraku, Mitsuhama…). De fait, en dehors de quelques chaînes de magasins possédées par des corporations étrangères, de tels articles sont virtuellement introuvables alors que leurs équivalents japonais sont pratiquement omniprésents.

Les grands constructeurs automobiles japonais sont dans une situation similaire bien que certaines firmes étrangères aient réussi à faire des adeptes parmi les classes aisées. Tous les véhicules à combustion interne destinés au marché japonais sont multifuel et peuvent utiliser  des carburants "verts" ou (moyennant des taxes énormes) des carburants classiques.

Les importations les plus notables concernent les matières premières destinées à l'industrie lourde, la sidérurgie et l'automobile.